The universe of photographer Vivian Maier

« À un moment donné de notre existence, nous perdons la maîtrise de notre vie, qui se trouve dès lors gouvernée par le destin. C’est là qu’est la plus grande imposture du monde »

Paulo Coelho

 État d’imposture : sans titre, sans étiquette. Synonyme : l’artiste. Syndrome individuel ? Dérive d’une société professionnalisée ? N’être rien, mais pourtant animé par ce sentiment que l’inconnu existe et que cet inconnu est pluriel et accessible.

 L’industrie culturelle tue l’artiste : ignore sa capacité créative…Elle lui impose un « univers artistique » qui n’est pas le sien…mais qui peut être lui rapportera. Promesse de réussite : comme pour TOUS les autres. Et ces autres, que sont-ils devenus ?

 Vivian Maier (1926-2009), une photographe dont le travail est resté totalement inconnu durant sa vie. Ces proches, eux-mêmes, ignorait le talent de l’artiste. Elle n’a jamais exposé son travail ; sentiment probable d’imposture. Elle a pourtant produit des milliers de clichés des rues de New-York et de Chicago. Ce n’est qu’en 2007 que les œuvres de l’artiste ont été découvertes lors d’un encan. Les images se trouvaient dans un entrepôt dont elle ne payait plus le loyer. Le collectionneur John Maloof a reconnu le talent de cette femme et a cherché à le faire connaître.  Un documentaire et une exposition à la galerie Howard Greenberg ont permis d’exposer les talents de l’artiste.

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